Livre numéro 2124
|   | L'Arménie au coeur de la mémoire |
Titre : | L'Arménie au coeur de la mémoire / auteur(s) : Hélène KOSSEIAN - |
Editeur : | Éditions du Rocher |
Année : | 2015 |
Imprimeur/Fabricant : | 52-Langres : Impr. la Manufacture |
Description : | 1 vol. (209 p.-[12] p. de pl.) : ill. en coul. ; 24 cm |
Collection : | |
Notes : | Bibliogr. p. 203-206 |
Autres auteurs : | |
Sujets : | Génocide arménien (1915-1916) |
ISBN : | 9782268077437 |
Bibliothèques : | Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris Catalogué à la Bibliothèque Nationale de France |
Prix : | 17,90 euros |
Achat possible sur : | Amazon |
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Commentaire :Le samedi 24 avril 1915, à Constantinople, 600 notables arméniens sont arrêtés et jetés sur les routes de la déportation. Commence alors le premier génocide du XXe siècle. 1,5 million d’Arméniens périssent, principalement sur leurs terres historiques d’Anatolie Orientale. Parmi ceux qui survécurent, certains gagneront l’éphémère 1ère République d’Arménie. Lâchée politiquement, cernée militairement, étranglée économiquement, elle deviendra finalement une des républiques de l’Union Soviétique. D’autres Arméniens gagneront, dès 1921, des rivages plus cléments. Débarqués à Marseille, ils constitueront une main-d œuvre docile dans la France d’après-guerre. Et lorsqu'éclatera la Seconde Guerre Mondiale, la plupart d'entre eux n'hésiteront pas à combattre l'occupant, armes à la main, que ce soit en France, dans les rangs de l'Armée Rouge ou ailleurs. C’est alors qu’après une longue période de silence, des cris s’élèvent à Erevan le 24 avril 1965 : « Nos terres ! Justice! Résolvez la question arménienne ! » Cinquante ans après l’apocalypse, les habitants de la capitale arménienne commencent le combat pour la reconnaissance du génocide par les États et par l’héritière de l’Empire ottoman : la Turquie. Un siècle plus tard, l'auteur, d'origine arménienne, se plonge dans le passé de l'Arménie et de ces souvenirs douloureux. Un essai qui permet de comprendre l'histoire et la mémoire de ce pays, alors que le débat autour de la mémoire du génocide a fait couler beaucoup d'encre en France. |
Livre numéro 1817
|   | Les commandos de l'Affiche rouge : la vérité historique sur la première section de l'Armée secrète |
Titre : | Les commandos de l'Affiche rouge : la vérité historique sur la première section de l'Armée secrète / auteur(s) : Arsène TCHAKARIAN - Arsène Tchakarian ; avec la collaboration de Hélène Kosséian |
Editeur : | Éditions du Rocher |
Année : | 2012 |
Imprimeur/Fabricant : | 14-Condé-sur-Noireau : Corlet impr. |
Description : | 1 vol. (297 p.-[8] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., fac.sim., couv. ill. ; 24 cm |
Collection : | Histoire |
Notes : | En appendice, choix de documents |
Autres auteurs : | Hélène KOSSEIAN [contribution] - |
Sujets : | Manouchian, Missak (1906-1944) -- Guerre mondiale (1939-1945) -- Mouvements de résistance |
ISBN : | 9782268074061 |
Bibliothèques : | Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris Catalogué à la Bibliothèque Nationale de France |
Prix : | 20,00 euros |
Achat possible sur : | Amazon |
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Commentaire :Fin 1942. Dans Paris occupé par les Allemands, l'ouvrier poète Missak Manouchian prend la tête d'un groupe de jeunes juifs, hongrois, polonais, roumains, espagnols, italiens, arméniens, tous déterminés à combattre pour libérer la France. Dans la clandestinité et au péril de leur vie, les membres de ce groupe vont devenir des héros. Leurs actions : harceler l'occupant, dérailler les chemins de fer, arrêter les dénonciateurs. Les services spéciaux de la police anticommuniste de l'État vichyste, le B1 et le B2 installés à la préfecture de police de Paris depuis août 1942, sous les ordres du chef de la police de la sécurité, et de deux agents, Roger et Albert, infiltrés dans les organisations immigrées, permettent les arrestations des 23 combattants de la première section parisienne de l'Armée secrète, fin novembre 1943. Le 21 février suivant, les membres du groupe de Manouchian sont condamnés à mort. Les nazis vont faire de cette arrestation une propagande outrageuse et placarder des affiches de ces hommes, transformés en criminels, sur les murs du Tout-Paris et dans la France entière : "l'armée du crime". Le jour même, à 15 heures, au mont Valérien, des salves de balles vont cribler les corps de ces résistants. Arsène Tchakarian, dernier survivant de ces clandestins, continue à faire vivre la mémoire de la Résistance et pose la question sans détours. Il donne le nom du coupable, celui qui a sonné la mort de ces compagnons de l'ombre. |
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